Il bichonne le gazon du Parc des Princes et vous verriez le résultat !!!!!!!!!!! J'en bave!!!
Son nom : Jonathan Calderwood.
Les matches :
« Le jour du match, c’est toujours particulier, on l’appelle le jour de gloire. On est là pour éviter que cette pelouse ait des défauts, que tout soit parfait pour les joueurs ce soir mais également pour les prochaines échéances. »
Une pelouse très vivante :
« L’ajout de fertilisants, de produits d’entretien, tous ces produits donnent le résultat que l’on a. La pelouse pousse très rapidement. On l’a pourtant tondue deux fois hier et elle a dû prendre 6 à 7 mm cette nuit. »
Un terrain qui doit être uniforme :
« Tout se joue au millimètre et je pense que c’est ça la règle importante aujourd’hui. On doit respecter la même coupe dans les surfaces de réparation et bien tenir compte des lignes blanches. On n’a pas le droit à l’erreur vu l’argent que représente le football aujourd’hui. Chaque parcelle est importante. »
Ses craintes :
« Heureusement pour moi, et je croise les doigts, il n’y a jamais eu de grosses erreurs. Il y a déjà eu des petits tracas mais, pour moi, la plus grosse crainte est que l’arrosage automatique s’enclenche pendant le match. Vous êtes là assis à voir ce spectacle et ça vous le plombe forcément. Il y a beaucoup de choses auxquelles penser mais cela fait partie du travail. »
Avant un match :
« Les derniers réglages sont finis, on a coupé la pelouse, les lignes blanches sont prêtes, les drapeaux posés, les buts aussi, on a presque tout fini, tout est prêt pour le match. On fera juste un petit tour avant le coup d’envoi. »
Pour avoir la pelouse du Parc chez soi :
« En fait, c’est très simple, c’est juste le sens de la coupe qui fait ces bandes. Si vous coupez dans un sens puis dans l’autre, la pelouse suit le mouvement de la machine et c’est ça qui donne cet effet de bandes. »
